La mort !…

…et alors ?

 

L’amour ne disparaît jamais.

La mort n’est rien !
Je suis seulement passé dans la pièce d’à côté.
Je suis moi, tu es toi ; ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné, parle-moi comme tu l’as toujours fait, n’emploie pas un ton différent, ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Souris, pense à moi, prie pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été, sans emphase d’aucune sorte, sans une trace d’ombre.
La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié, elle est ce qu’elle a toujours été : le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée simplement parce que je suis hors de ta vie ?
Je t’attends…
Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin.
Tu vois, tout est bien

Canon I. Scott-Iolland

 

 

 

 

 


La grande et triste erreur de quelques-uns, c'est de s'imaginer que ceux que la mort emporte nous quittent : ils ne nous quittent pas, ils restent.
Où sont-ils ? Dans l'ombre ? oh non, c'est nous qui sommes dans l'ombre. Eux, sont à côté de nous, sous le voile, plus présents que jamais.
Nous ne les voyons pas, parce que le nuage obscur nous enveloppe, mais eux nous voient.
Ils tiennent leurs beaux yeux pleins de lumière arrêtés sur nos yeux pleins de larmes.
ô consolation ineffable, les morts sont des invisibles, ce ne sont pas des absents.
J'ai souvent pensé à ce qui pourrait le mieux consoler ceux qui pleurent. Voici : c'est la foi en cette présence réelle et ininterrompue de nos morts chéris ; c'est l'intuition claire, pénétrante, que, par la mort, ils ne sont ni éteints, ni éloignés, ni même absents, mais vivants près de nous, heureux, transfigurés, et n'ayant perdu, dans ce changement glorieux, ni une délicatesse de leur âme, ni une tendresse de leur cœur, ni une préférence de leur amour, mais ayant au contraire, dans ces profonds et doux sentiments, grandis de cent coudées.
La mort, pour les bons, est la montée éblouissante dans la lumière, dans la puissance et dans l'amour.

Monseigneur Bougeaud
évêque d'Angers

 

 

 

 

 

Ne pleure pas si tu m’aimes !

Si tu savais le don de Dieu et ce c’est que le Ciel !
Si tu pouvais d’ici, entendre le chant des Bienheureux,
et me voir au milieu d’eux !
Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux
les immenses horizons et les nouveaux sentiers où je marche !
Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté
devant laquelle toutes les beautés pâlissent !
Quoi… ? tu m’as vu… tu m’as aimé dans le pays des ombres
et tu ne pourrais ni me revoir, ni m’aimer
dans le pays des immuables réalités ?
Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens
comme elle a brisé ceux qui m’enchaînaient,
et quand, un jour que Dieu seul connaît et qu’il a fixé
ton âme viendra dans le Ciel ou l’a précédée la mienne…
Ce jour-là, tu me reverras et tu retrouveras mon affection purifiée.
A Dieu ne plaise qu’entrant dans une vie plus heureuse,
je sois infidèle aux souvenirs et aux vraies joies
de mon autre vie et sois devenu moins aimant !
Tu me reverras donc, transfiguré dans l’extase et le bonheur,
non plus attendant la mort,
mais avançant, d’instant en instant,
avec toi, dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie !

Alors… essuie tes larmes et ne pleure plus… si tu m’aimes !

Saint Augustin

 

 

 

 

 

Qu’est un Esprit ?
La croyance populaire l’imagine comme une forme vaporeuse, floue et blanchâtre, toujours effrayante. Il n’en est rien. L’Esprit est un être ayant un corps fluidique, invisible sauf pour bon nombre de ceux qui sont doués d’une aptitude spéciale : les médiums.

Qu’est le corps fluidique ?
Il est l’une des deux enveloppes qui entourent l’âme pendant la vie. Cette enveloppe est légère et indestructible. L’autre est le corps, lourd et grossier qui sera détruit à la mort.
Cette enveloppe fluidique ou périsprit est le lien qui unit l’âme au corps. L’union âme, périsprit et corps matériel constitue l’Homme.


Au moment de la mort, l’âme abandonne son enveloppe corporelle détruite; elle conserve son enveloppe fluidique ou périsprit. Ame et périsprit séparés du corps constituent l’Esprit.


Le tombeau est la sombre reliure de deux livres : le livre de la vie terrestre qui se ferme, et celui de la vie spirituelle qui s’ouvre, et l’Esprit libéré continue à vivre dans un autre Plan.

Les Esprits peuplent l’espace, et constituent un monde invisible qui nous entoure, au milieu duquel nous vivons, et avec lequel nous sommes constamment en contact.

Extrait d'Ephphata
Avant-propos

 

 

 

 

 

 

 

« Loulou n'a pas cessé de m'envoyer des signes qui montrent qu'il est toujours à mes côtés »

Line Renaud

 

 

 

   
 

L'autre côté de la vie…

   
   

Ces dialogues vous sont offerts avec l'autorisation de Philippe Ragueneau et l'approbation de Catherine Anglade sa femme… décédée.

 

Extraits…

« Je m'installai sur la terrasse qu'une brise légère s'évertuait en vain de rafraîchir. Gros-Mimi lui, dormait dans le bureau dont j'avais fermé tous les volets. Je m'avisai alors que je n'avais pas aperçu Petit-Lulu depuis mon retour. Or, par les grosses chaleurs, lui aussi se met au frais… Je le cherchai dans toute la maison. Puis, dans les taillis et les sous-bois où parfois il s'abrite… Il n'était nulle part.
Je confiai mon inquiétude à Catherine.
« Prends la voiture, me dit-elle.
- Pour quoi faire ? S'il dort dans un fourré, ce qui est probable, je ne le verrai pas de la route.
- Prends la voiture.
- Voyons, il ne va jamais aussi loin !
- Prends la voiture.*
- Bon, puisque tu insistes… »
J'allai quérir ma clé de contact et j'ouvris ma portière. Un miaulement rauque et pitoyable me fit bondir ! Il était là, le pauvre Lulu, tassé entre les sièges, dégoulinant de sueur de la tête aux pattes… De toute évidence, il avait sauté dans le coffre à mon insu et depuis dix heures du matin, il cuisait là, en plein soleil, dans cette voiture transformée en étuve où la température devait avoisiner les 60 °C ! Il a bu d'un trait deux bols d'eau, puis il s'est couché pour se lécher les pattes dont les poils étaient agglutinés.

L'autre côté de la vie
Extraits

 

ndlr : il semblerait que Catherine ait dit « dans la voiture » et non, « prends la voiture ». Là sont les limites de la médiumnité semi-mécanique auditive : le médium répète ou retranscrit ce qu'il entend, un mot pouvant être pris pour un autre… Dans certains Centres spirites, certains médiums retranscrivent fidèlement ce qu'ils entendent de l'esprit qui communique mais beaucoup se permettent de changer -voire d'occulter- des mots soit parce qu'ils ne correspondent pas à leur vocabulaire, soit parce qu'ils les estiment dérangeants. Le fait de changer des mots peut avoir pour conséquence de changer le sens de la phrase.
On retrouve les mêmes limites dans la voyance : "on me dit que…" on ne sait jamais qui "dit", ami ou ennemi, la "voyante" ne voyant pas l'entité qui s'exprime, ne peut la décrire ; on ne sait non plus jamais si la voyante dit vraiment tout ce qu'elle entend ou voit, et s'il n'y a pas, quelquefois, interprétation, surtout si elle demande rétribution pour son travail.
La médiumnité mécanique évite ces inconvénients puisque le médium est passif : l'entité -ou esprit- guide lui-même la main du médium pour ce qui est de l'écriture automatique ou, plus rare, se sert des cordes vocales de celui-ci, on appelle cela une incorporation (La voix et les gestes sont différents). Le message est authentique, c'est vrai, mais il y a de toute façon, danger car les entités lisant en nous comme dans un livre ouvert, on ne sait jamais si l'auteur avoué du message n'est pas un usurpateur dont le but est de nous induire en erreur… ou de "rire" de notre crédulité.
Alors, méfiance !…

 

 

 

 

 

…Il m'arrive pourtant, d'hésiter à l'appeler, la sachant fort occupée, et à des tâches autrement plus exaltantes que les miennes, j'ai des scrupules à la déranger. Chaque fois elle me rassure :
- « Tu n'es pas le seul à éprouver cette crainte. Nombreux sont les terriens qui s'imaginent qu'en nous appelant, ils nous tirent du paradis par les pieds, nous arrachent à notre bonheur ou retardent notre épanouissement. Rien n'est plus faux. Accompagner votre fin de séjour sur terre, vous réconforter par notre présence dans les instants de détresse et de solitude, vous conseiller et vous aider chaque fois qu'il est nécessaire, cela fait partie aussi de notre rôle et n'empêche nullement notre lente et lumineuse montée vers un total accomplissement.
- En te souhaitant toujours aussi proche, je te prive d'un supplément de bonheur ?
- Non, ne crois pas cela. Le bonheur intense, immense qui nous submerge dès notre arrivée ici, nous est donné une fois pour toutes. On n'est pas plus heureux dans les états spirituels supérieurs, mais simplement plus épanoui. Ce degré supérieur d'épanouissement tient au fait que l'on en sait davantage, que l'on comprend mieux la nature et les desseins de Dieu et que sa présence pèse plus lourd en nous. Sois rassuré : je retarde un tout petit peu ma maturité spirituelle, mais je ne suis pas moins heureuse que je ne le serai plus haut. » Et puis c'est ce que nous avons voulu : continuer à vivre ensemble. Rassure-toi, je suis immensément heureuse, même quand je suis dans ma maison avec toi. Je l'ai aimé cet endroit, et j'y suis toujours bien. Tu veilles d'ailleurs, à le tenir impeccable.
Et puis, pense donc ! C'est moi qui t'accueillerai quand tu viendras me rejoindre…
- Ça, c'est une idée qui me plaît bien !…

L'autre côté de la vie
Extraits

 

 

 

 

 


« Quand tu m'as dit, à une heure du matin : …tu peux lâcher la rampe… ne lutte plus… Laisse-toi aller, je t'ai écouté. Et soudain, je me suis comme dédoublée… Je ne souffrais plus. J'avais quitté mon corps et je le voyais de très haut, comme quelque chose qui m'était étranger, mais toujours moi, cependant…
- Etais-tu allongée au-dessus de lui ?
- Je ne sais pas… Je ne crois pas… Il me semblait que je n'étais qu'un regard. Je me voyais, je voyais Thérèse qui ne pouvait s'empêcher de pleurer. Je voyais Mimi qui réclamait à manger, pour changer… Je me sentais incroyablement légère, mais aussi affreusement triste pour toi qui connaissais les premières minutes d'une vraie solitude. Et je ne pouvais pas te parler, te consoler, te dire que je resterais près de toi comme je te l'avais promis. Je ne parvenais pas non plus à me détacher tout à fait de mon corps, comme si un fil me retenait à lui -un fil de vie…- Quand je levais les yeux, je ne voyais pas les poutres du salon, mais une blancheur nacrée, un peu laiteuse, comme je n'en ai jamais vu. J'avais aussi perdu la notion du temps…
- Ton coma profond a duré plus de trois jours. Tu n'as pas quitté le salon ?
- Je ne le pouvais pas. Je ne pouvais pas bouger. J'ai vu le matin éclairer doucement les meubles et les objets au-dessous de moi, et toi qui venais voir si cette enveloppe où je n'étais plus, respirait encore… Mais tu avais compris. Tu savais que j'étais ailleurs… Je t'ai entendu faire du café dans la cuisine… Lulu a sauté près de ma forme, mais il est redescendu très vite… Je n'avais pas conscience des heures qui coulaient, sans poids aucun…
- Ton cœur s'est arrêté de battre le 4 juin, dans la nuit.
- Oui. Assise dans un fauteuil tout près de mon lit, la garde de nuit avait fermé les yeux. Mon petit chat noir s'est encore une fois approché, et je lui ai dit : "Maintenant maman s'en va, mon petit chéri…"
- Que s'est-il passé ensuite ?
- L'éclair… La vitesse de l'éclair… je n'ai eu conscience de rien, me semble-t-il. Je me suis retrouvée ici… »

L'autre côté de la vie
Extraits

 

 

 

 

 

« - Quand je branche la télé pour regarder un programme que je crois intéressant et que je te demande de le regarder avec moi pour qu'on en discute après, je te prive d'un grand moment de ton merveilleux ?…
- Partager ta vie comme nous l'avons voulu toi et moi, c'est partager aussi tes plaisirs et tes petites joies, même s'ils ne sont pas à la dimension des miens. Et puis, songe donc, quand je rentre "chez moi", quel éblouissement renouvelé !… Je me prive peut-être un tout petit peu de mes grands bonheurs, mais je donne aux tiens, en m'y associant, une amplitude qui fait ta vie plus heureuse, plus sereine. Et là, je suis dans mon rôle, un rôle que j'ai souhaité et demandé. Tu comprends cela ?… »

L'autre côté de la vie
Extraits

 

 

 

 

 

- […] Les hommes pensent, raisonnent et s'expriment avec leurs facultés d'hommes, et ils n'en ont pas d'autres à leur disposition. Ils pressentent les grands mystères de la Création, mais ils n'ont, pour les expliquer ou tenter de le faire, que des mots de terriens issus de cerveaux de terriens. […] Je t'ai dit que je me trouvais dans le « premier cercle de lumière… »
- Un de mes lecteurs parle de « sphères de lumière »
- Pourquoi pas ? De toute façon, sphère ou cercle, ce sont des vocables déformants. Image pour image, je préfère parler de cercle… Mais comment échapper aux problèmes de vocabulaire ? Les mots dont tu te sers ne peuvent en aucun cas, s'appliquer à l'univers qui est devenu le mien. Ils le travestissent, le maquillent ou le trahissent inévitablement… A propos de ces « sphères » ou « cercles » en fait, il ne s'agit pas de lieux, mais d'états spirituels. Nous passons d'un état d'initiation et de compréhension à un autre qui lui est supérieur jusqu'à la lointaine étape finale qui est le face-à-face avec Dieu. De la même manière, convient-il de relativiser les notions d' « enfer » et de « purgatoire ». L'enfer est un état de désespoir lorsque le nouveau venu découvre qu'il sera privé de Dieu. Et le purgatoire est un état de remords et de repentir… L'important est de savoir que nos actes nous suivent…
- L'enfer est-il éternel ?
- De toute façon, c'est Dieu qui décide de tout. D'ailleurs je crois que je t'en dis déjà trop…
- Non, pourquoi ?
- Parce que je ne suis autorisé à te dire que ce qui a été dit avant moi, par d'autres que moi. […] Ici, je participe du ciel et de la terre. C'est une sorte d'intermédiaire. Je peux être près de toi quand tu le souhaites, partager ta vie, vaquer dans l'appartement, caresser mes chats du regard, t'aider à retrouver ce que tu as perdu… […] On peut descendre du second cercle au premier, ou du troisième au second et remonter ensuite. Mais on ne peut monter du premier au second. Jacqueline Barsac qui est « à l'étage au-dessus » (tu vois, je mets mes mots à ta portée) vient de temps en temps me faire une petite visite, puis rentre chez elle. Mais moi, je ne peux pas monter la voir…
[…]
- Une dernière question : Un homme ou une femme peut-il recevoir des messages comme ceux que tu m'adresses, sans le truchement d'un disparu, d'un médiateur ?
- Oui, bien sûr. Les saints en portent témoignage et ils en sont la meilleure preuve. L'Esprit-Saint peut fort bien se manifester chez des êtres choisis pour devenir messagers auprès des autres. De même que la part de divin, que chacun porte en soi, peut inspirer d'étonnantes réflexions. Mais, dans tous les cas, il faut être extrêmement attentif, circonspect et prudent car Satan ne se prive pas de… « communiquer » avec certains et tout spécialement par le canal de ceux qui font commerce de spiritisme (pas tous heureusement !). Or, ses messages à lui peuvent être très ambigus et revêtir toutes les apparences du vrai et du crédible ; ils peuvent aussi mener tout droit des âmes simples vers des sectes à proprement parler diaboliques. Prudence, prudence ! Je ne le dirai jamais assez ! Les authentiques messagers de la foi et de la vérité sont extrêmement rares. D'ailleurs ceux-là parlent peu et n'en font jamais commerce…

L'autre côté de la vie
Extraits

 

 

 

 

 


Et que dire aussi à tous ceux que leur propre mort terrorise ? Comment les convaincre qu'elle n'est que le passage d'une courte vie terrestre semée d'embûches et de souffrances, à une totale félicité, dans la chaude compagnie de ceux qui les ont précédés ?…
La mort n'est pas une punition mais une délivrance. Elle ne ferme pas la porte de la vie, elle l'ouvre toute grande. Elle n'est pas un anéantissement mais une renaissance.
Lorsqu'elle frappe à la porte, cette mort-délivrance, pourquoi tant de gens réagissent-ils à contresens ? Ils pleurent, alors que l'absent se réjouit. Ils vont fleurir une tombe sous laquelle il n'y a personne. Ils s'emmurent dans un silence désespéré alors que les fanfares du ciel accueillent un bienheureux…

Philippe Ragueneau
L'autre côté de la vie

 

 

 

 

 

Et puis, plus généralement, ce que j'ai découvert ici, sur moi, sur les autres, sur le monde et sur Dieu surtout, ne tiendrait pas en dix vies terrestres. Je me suis rendu compte que ce que je ne comprenais pas dépassait de très loin mes acquis et mes certitudes. Sur terre, nous sommes la proie du doute, un doute qui s'applique à tout et qui pollue tout. On doute de soi-même, on doute de l'autre et des autres, on doute du bien-fondé de notre existence, et on doute de Dieu, bien sûr, dont on pense parfois qu'Il n'est que le hochet commode et chatoyant de tous les prosélytismes religieux.
Où est le vrai ? Où est le faux ? Où se cache la vérité ? Quand triomphe la fable ?…
Mais ici, tout s'éclaire. Ici, il n'y a plus de questions, seulement des réponses.

Catherine Anglade
L'autre côté de la vie

 

 

 

 

 

Je voudrais crier de toute la force de mes poumons, c'est mon absolue certitude, que le grand passage n'est que joie et apaisement. On quitte notre vie terrestre comme on se dépouille d'un vêtement usé pour endosser une robe de lumière et faire les premiers pas dans un bonheur intense dont nous ne pouvons nous faire une idée. De quoi, alors aurions-nous peur ? Et pourquoi pleurer sur soi-même et sur l'autre ?…

Philippe Ragueneau
L'autre côté de la vie

   
       
 

L'autre côté de la vie
"un merveilleux espoir pour tous ceux qui ont perdu un proche"


Auteurs : Philippe Ragueneau & Catherine Anglade
Ce livre est publié aux éditions du Rocher.